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Posté le 06/05/11 dans la catégorie : Workshop Workshop autour de l’image-mouvement avec Andres Hispano, du 21 au 23 mai 2011, à la Maison EXODO/L'Agence Créative à Bordeaux
Workshop gratuit, samedi 21, dimanche 22 et lundi 23 mai 2011, de 18H00 à 21H00 Programmé dans le cadre du projet EXODO, Espaces Publics d'Art Contemporain par Juan Aizpitarte et Ibai Hernandorena. A la Maison Exodo/L’Agence Créative 19 cours de l’Argonne à Bordeaux Workshop gratuit. Adhésion annuelle à l'association l'Agence Créative: 10 euros Réservation obligatoire: Par mail : contact@lagence-creative.com PRESENTATION : Les trois séances de projections-rencontres programmées par Andres Hispano dans le cadre de son workshop, proposent une exploration de la ville à travers l’image mouvement. La ville sera abordée à travers de nombreux exemples cinématographiques et audiovisuels, comme sujet et motif. 1- LA VILLE La ville perçue comme une abstraction est une scène essentiellement cinématographique. Stanley Cavell a observé que le cinéma est le premier art dont la naissance ne soit pas liée à la religion, mais au monde immédiat, quotidien et urbain. L’usage premier de la ville, dans le cinéma expérimental, documentaire, de genre ou de divertissement, fut d’ordre visuel et dramatique. Symphonies urbaines : – Berlín, Sinfonía de una gran ciudad (Ruttman, 27), El Hombre de la cámara (Vertov, 29), Organism (Harris, 75), Koyaanisquatsi (Reggio, 86) La grande ville : – Metropolis (Lang, 27), 42nd Street (Bacon,33), The City (Steiner, 39), The Crowd (Vidor, 28), Playtime (Tati, 67) Laboratoire visuel : – Star Theatre (Edison, 01), Skycraper Symphony (Florey,29), Ferment (MacMillan, 99) 2- DES VILLES MODELES Quelques villes comme NY, LA, Paris ou encore Hong Kong ont représenté les paradigmes particuliers de cette scène urbaine. Elles ont servi de sujets jusqu'à devenir des personnages, si ce n’est des modèles de grille narrative. Dans cette séance nous passerons en revu quelques films qui illustrent cette relation entre les villes et les sujets, les motifs et les conflits. Paris : Au 7ème ciel (Borzage, 27), Sous les toits de Paris (Clair, 30) LA : Meshes of the afternoon (Deren, 43), The Architecture of reassurance (Mills, 2000), Lost Highway (Lynch, 97) 3- LA VILLE COMME ESPACE DE JEU : Explorer le milieu urbain, le conquérir, le transformer, le réinventer, se l'approprier, le plier, l'admirer, le découvrir avec la caméra. Grâce à une grande diversité de moyens (médias) et de genres (vidéoclips, une fiction, expérimental, skate etc..), les modèles et les stratégies créatrices parcourent la ville... Aussi, nous considérerons la ville comme un espace de jeu, la scène par excellence d’imaginations solipsistes. La ville espace de jeu : Oh, no, I Can’t Stop! (Rybzynsky, 80), BLU, El Sastre (Pérez, 2010), Dark City (Proyas, 98), Inception (Nolan, 2010) PRESENTATION D’ANDRES HISPANO : Producteur audiovisuel, conservateur, peintre et illustrateur. Collaborateur et membre de Cultura / s de La Vanguardia. Il a écrit et réalisé des programmes sur le cinéma expérimental pour Canal Plus (Espagne) et de nombreux programmes sur le cinéma, la musique et des vidéos pour BTV. Il enseigne à l'UPF (Processus de télévision). Il a été commissaire des expositions telles que El Rei de la Casa (Palau de la Virreina, 2007). Il a publié David Lynch, Claroscuro americano (1998).
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