WAC: "Des Mondes Aquatiques #2" / Dans le cadre du Week-end de l'Art Contemporain / du Jeudi 28 septembre au Dimanche 1er octobre 2017 / FRAC Aquitaine - Bordeaux WAC: "Des Mondes Aquatiques #2" / Dans le cadre du Week-end de l'Art Contemporain / du Jeudi 28 septembre au Dimanche 1er octobre 2017 / FRAC Aquitaine - Bordeaux

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    Posté le 28/07/17 dans la catégorie : WAC

    WAC: "Des Mondes Aquatiques #2" / Dans le cadre du Week-end de l'Art Contemporain / du Jeudi 28 septembre au Dimanche 1er octobre 2017 / FRAC Aquitaine - Bordeaux




    "Des Mondes Aquatiques #2"
    Dans le cadre du Week-end de l'Art Contemporain 2017
    Du Jeudi 28 septembre au Dimanche 1er octobre 2017
    FRAC Aquitaine - Bordeaux



    "Depuis sa création en 1982, le Frac Aquitaine poursuit ses missions de soutien à la création contemporaine, par le biais de la constitution et de la gestion d’une collection, qu’il diffuse en région, en France et à l’étranger. Ces missions sont relayées par un programme d’actions de sensibilisation à l’art, diversifiées et adaptées aux différents publics, au travers d’expositions et opérations concertées avec les partenaires culturels sur l’ensemble du territoire.
    Attaché à sa mission première qu’est la constitution d’une collection d’art contemporain, le Frac Aquitaine a constitué au cours de ces 35 dernières années un patrimoine vivant et représentatif des formes et expressions contemporaines les plus variées (peinture, sculpture, photographie, vidéo, installation…) et conserve aujourd’hui plus de mille œuvres, d’artistes de renom, et aussi de jeunes talents prometteurs.
    Le projet Des Mondes aquatiques organisé en deux volets au Centre international d’art et du paysage à Vassivière et au Frac Aquitaine, interroge les rapports entre les humains et les milieux aquatiques, depuis le face à face du pêcheur solitaire avec son poisson jusqu’au prédateur industriel prélevant de l’océan des quantités incommensurables.

    Dans le val de Gorge d’Enfer, près des Eyzies, le saumon sculpté dans la roche il y a 25 000 ans témoigne d’une relation, déjà étroite, de prédation et de fréquentation entre l’homme, le monde aquatique et les pratiques halieutiques. Comme la chasse et la cueillette, la pêche se présente ainsi  comme une appréhension privilégiée de la nature et du paysage.
    (…) La pêche, avant de devenir un loisir, fut d’abord un besoin et un exercice intrépide. De manière très particulière, elle est un levier puissant pour l’imaginaire, les symboles et les récits héroïques : les pêches deviennent miraculeuses, les poissons prennent des dimensions extraordinaires, le récit se métamorphose en épopée. « Ne doutez pas que la pêche soit un art », écrit Izaac Walton dans cette bible qu’est  Le parfait pêcheur à la ligne ou Le divertissement du contemplatif édité au milieu du XVIIe siècle, qui donne à la pêche ses lettres de noblesse philosophiques et laisse entrevoir cette activité comme bien plus complexe qu’elle ne paraît, au delà de sa dimension prédatrice."

    Des Mondes aquatiques #2
    DERNIÈRE EXPOSITION DU FRAC AQUITAINE
    AU HANGAR G2
    DU 19 JUIN AU 5 NOVEMBRE 2017


    "Le projet Des Mondes aquatiques organisé en deux volets au Centre international d’art et du paysage à Vassivière et au Frac Aquitaine, interroge les rapports entre les humains et les milieux aquatiques, depuis le face à face du pêcheur solitaire avec son poisson jusqu’au prédateur industriel prélevant de l’océan des quantités incommensurables.
    Dans le val de Gorge d’Enfer, près des Eyzies, le saumon sculpté dans la roche il y a 25 000 ans témoigne d’une relation, déjà étroite, de prédation et de fréquentation entre l’homme, le monde aquatique et les pratiques halieutiques. Comme la chasse et la cueillette, la pêche se présente ainsi comme une appréhension privilégiée de la nature et du paysage. Très vite elle inspire les récits mythologiques puis les premières peintures paléochrétiennes des catacombes où le poisson (ichthus) apparaît comme un symbole du christianisme. Aujourd’hui, elle incarne toujours un riche terrain de jeu et d’expérimentation dont les dimensions sont aussi variées
    que les défis qu’elle suscite. Avec ce scénario récurrent : un plan d’eau où circulent les poissons, un ciel et une figure de pêcheur comme trait d’union. « Un point d’équilibre » à atteindre comme le signale le maître taoïste, Lie Tseu, qui ne fait que rappeler la dimension universelle et paradoxale de l’exercice. La pêche ainsi n’est pas si éloignée de la pratique de l’amateur d’art qui déambule
    dans les musées en exerçant son regard sur telle ou telle oeuvre. Chacun cherche ce qui pourrait l’interpeller, exerce sa sagacité, se tient au seuil et en alerte. À leur manière, pêcheur et regardeur se postent face à un cadre, délimitent leur périmètre d’introspection, une toile ou un paysage, dans lequel s’investir. Puis progressivement et parfois lentement, l’un et l’autre font de ce terrain de jeu, une
    expérience de l’observation, de la quête où le plaisir se loge dans ce temps étiré, calme, pour soi. La pêche, avant de devenir un loisir, fut d’abord un besoin et un exercice intrépide. De manière très particulière, elle est un levier puissant pour l’imaginaire, les symboles et les récits héroïques : les pêches deviennent miraculeuses, les poissons prennent des dimensions extraordinaires, le récit se métamorphose en épopée. « Ne doutez pas que la pêche soit un art », écrit Izaac Walton dans cette bible qu’est Le parfait pêcheur à la ligne ou Le divertissement du contemplatif édité au milieu du XVIIe siècle, qui donne à la pêche ses lettres de noblesse philosophiques et laisse entrevoir cette activité comme bien plus complexe qu’elle ne paraît, au
    delà de sa dimension prédatrice.
    Inscrite dans le cadre de la manifestation Agora et de la saison Paysages, cette exposition est incluse dans le programme régional Dépaysements organisé à l’initiative du Frac Aquitaine et en partenariat avec le domaine d’Abbadia Nekatoenea, arrêt sur l’image galerie, le Centre international d’art et du paysage de Vassivière, le château Palmer, la galerie Didam, la Maison de la Photographie des Landes, l’Opéra National de Bordeaux et la Ville de Blaye, avec le soutien

    Deux rdv le Samedi 30 septembre qui mettent à l’honneur deux artistes (issues de l’EBABX) :
    -     Anne Colomès (une nouvelle production au sein de l’expo et un atelier famille) 
    -     Suzanne Husky (projection d’une nouvelle œuvre vidéo)
     
    Le programme:
     
    15h-17h  : Atelier famille (adultes et enfants 4-6 ans) Comme un pinceau dans l’eau

    Un atelier de dessin et d’aquarelle avec l’artiste Anne Colomès
    Sur inscription / 3€/personne

    16h30-17h30 : visite partagée

    17h30-18h30  : projection de l’œuvre vidéo « Sirène et indienne »  de Suzanne Husky (dernière production de l’artiste actuellement présentée à Vassivière dans « Des mondes aquatiques #1 »)

    Informations complémentaires:
    FRAC Aquitaine
    Hangar G2, Bassin à flot n°1
    Quai Armand Lalande
    Bordeaux

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